Les Suisses se sont clairement prononcés contre l’initiative « pour l’autodétermination ». Celle-ci aurait créé de l’insécurité juridique et nous aurait isolé sur le plan international. PLR.Les Libéraux-Radicaux se réjouit du résultat de cette votation. Les citoyennes et citoyens ne sont pas dupes. La Suisse peut, aujourd’hui déjà, décider par elle-même. Cette initiative n’aurait fait qu’engendrer de nouveaux problèmes. L’important engagement de notre base PLR a été récompensé par un Non clair. …
Les mécanismes de contrôle institutionnels fonctionnent
Suite aux retours critiques des commissions, le Conseil fédéral a aujourd’hui décidé d’attendre le débat parlementaire de la session d’hiver avant de se prononcer sur les suites à donner à la procédure relative au Pacte de l’ONU sur les migrations. Cela prouve que les institutions et les mécanismes de contrôle institutionnels fonctionnent en Suisse. L’initiative « pour l’autodétermination » n'est ni nécessaire ni applicable au « Soft Law…
Le PLR remercie Christian Amsler pour sa candidature et salue sa feuille de route
Lors de sa séance du jour, le groupe parlementaire a longuement discuté de la conception du ticket pour l’élection complémentaire au Conseil fédéral du 5 décembre 2018. C’est donc une sélection de deux personnes qui sera proposée à l’Assemblée fédérale. Après une intense discussion, le choix s’est porté sur la conseillère aux États Karin Keller-Sutter et sur le conseiller aux États Hans Wicki. Le PLR les félicite,…
Le Comité directeur transmet les trois candidatures au groupe libéral-radical
Le délai de nomination des candidats par les cantons et les organisations proches du parti pour l’élection complémentaire au Conseil fédéral a pris fin le 24 octobre dernier. Le Comité directeur PLR.Les Libéraux-Radicaux Suisse a pris connaissance des candidatures du conseiller d’État Christian Amsler, de la conseillère aux États Karin Keller-Sutter et du conseiller aux États Hans Wicki avant de les transmettre toutes…
Le PLR présente de vraies propositions de réforme, et non de fausses solutions
Le système de santé suisse propose une vaste palette de soins et satisfait largement la population. Toutefois, les coûts à la charge de l’assurance de base prennent l’ascenseur. Il n’y a pas de solution miracle : ni une étatisation du système, ni un plafond artificiel aux dépenses n’apportent une réponse sérieuse à la hausse des coûts. De profondes modifications du système sont nécessaires, basées sur plus de…